Solution:
Supposons que l'entier k est impaire, et montrant alors sa fauseté.
Il existe un entiér positif r tel que k=2r+1. a,b sont impaires si ab=2^n-1.
Et 2^k | (a-1)(b+1) <=> 4^r | 2^{n-1}+m-1 tel que 2m=a-b.
Si m est paire alors paire|impaire => r=0 . Si r est différent de 0, alors m est impaire.
Il existe t£IN* tel que 2^{n-1}+m-1 = t.4^r. On sait également, selon l'énoncé, que pour tout l£IN* : 2^{2r+1+l) ne dévise plus (a-1)(b+1). Alors t=1.
Si t=1 donc 2^{n-1} + m-1 = 4^r <=> (a-1)(b+1) = 4^r
Puisque a,b sont impaires, alors qu'il existe i,j de IN* tel que a-1=4^i et b+1=4^j et r=i+j.
Ainsi ab = (4^i+1)(4^j-1) = 2^n-1 , les solutions de cette équation classique en IN est i=j
ainsi 2^{4i}-1 = 2^n-1 => 4i=n , et puisque r=i+j=2i alors n=2r donc n+1=k.
D'autre part, a=4^i+1 et b=4^j-1 donc a=b+2
Revenant à l'équation du départ et remplaçant, on aura alors 2^{n+1}|2^n+1 qui est bel et bien contradiction, puisqu'on sait qu'il n'existe jamais un nombre paire divisant un nombre impaire et parceque 2^n+1<2^{n+1} pour tout n de IN*. Ce qui est absurde. Alors k est paire .
Sauf erreur .