- memath a écrit:
- trouver toute les fonction f:R-->R+ verifiant la propriété suivante :
Pour l'instant, je sèche. J'ai une quasi solution, mais pas terminée :
Je préfère travailler sur g=f^2 qui vérifie l'équation :
P(x,y) : 2g^3((x+y)/2)=g(x)g(y)(g(x)+g(y)).
On voit que si g(x) solution, k*g(x) l'est aussi. Je fixe donc g(0)=1/2.
On voit facilement que si g(x) et g(x+y) sont différents, alors la suite g(x+ny) est strictement monotone et donc que si IM(g) n'est pas réduit à un seul élément, son cardinal est infini.
Soit a réel non nul. Je pose alors :
u=g(a)
v=g(2a)
w=g(-a)
t=g(-2a)
P(2a,0) donne 8u^3 = v(2v+1)
P(-2a,0) donne 8w^3 = t(2t+1)
P(-a,a) donne 1 = 4uw(u+w)
P(-2a,2a) donne 1 = 4vt(v+t)
Soit un système de quatre équations à quatre inconnues. Le système n'est pas lié (on n'a pas une équation qui est vraie systématiquement si les trois autres sont vraies) << démo faisable par calcul de une ou deux combinaisons >>. Et donc le système a un nombre fini de solutions <<< cela est sûrement vrai mais je n'ai pas de démo simple pour cela >>>.
Donc IM(g) est de cardinal fini, donc réduit à un seul élément. Donc g(x)=c et donc f(x)=cste.
En fait, ce que je tente de faire par ce procédé est de dire que l'on peut calculer g(-2x) de deux façons à partir de g(x) :
1) g(x) donne g(2x) (en résolvant P(0,2x) puis g(2x) donne g(-2x) (en résolvant P(-2x,2x)
2) g(x) donne g(-x) (en résolvant P(-x,x) puis g(-x) donne g(-2x) (en résolvant P(-2x,0))
et ces deux calculs ne donnent le même résultat que pour un nombre fini de valeurs de g(x)
Voilà où j'en suis pour l'instant. Il y a probablement plus simple.