bjr,bon je propose cette solution..
Soit A une partie non vide majorée de IR,et soit M l ensemble de ces majorant.
soit p le plus petit entier qui majore A donc p-1 n'est pas majorant de A,on pose [a(0),b(0)]=[p-1,p].
si (2p-1)/2 est un majorant de A on prend [a(1),b(1)]=[a(o),(2p-1)/2]
si non on prend [a(1),b(1)]=[(2p-1)/2,b(0)]..et ainsi de suite on construit une suite emboité dont la longueur est 1/2^n qui tend vers 0,donc l'intersection de ces intervalles est réduite en un point noté L..
si il existe x de A TQ: x>L==>x-L>0==> il existe k TQ: x-L>1/2^k
cád: x-L>b(k)-a(k) ce qui est contradictoire...(car L>=a(k) et b(k)>=x)
donc L majorant de A..
si il existe un majorant S<L...alors il suffit de prendre epsilon dans la définition de la limite de la suite a(n),epsilon=L-S...on trouve que il existe k tel que: a(k)>S..or a(k) n'est pas un majorant..Ainsi le réel L est un majorant de plus il est le plus petit élement de M..